Ocala Floridaaaa!

Thru story en Français. On se fait rarement des vacances en milieu d’année avec mme Donny parce que ça fait chier les collegues de se retrouver à moins un et que l’été c’est plus sûr d’avoir du beau temps. Sauf que là c’est un cas de force majeur, Junior est en Floride jusqu’a fin mai alors il faut y aller avant pour voir…Et en fait on s’en cogne un peu des collegues qui vont ramer pendant 15 jours(c’est pas sympa, mais la roue tourne)

Donc voila posé le décor, Avril ne te découvre pas d’un fil sauf si t’es en foride où là t’es un bolosse avec ton chandaille en jaquerd et col en Vé, parce qu’il fait pas loin de 100°. Tu apprendras comme nous l’avons fait que 100° c’est 40° celsius : Tu retranches 32 puis tu multiplies par 5 et tu divises par 9. Simple non ?

Avant de vous parler de ce qu’on a vu a Ocala rapidement un grand merci aux gens qui s’arrêtent ici pour lire ma prose. Oui je sais bien que lire c’est pas dans l’air du temps et alors écrire, je vous raconte pas(des mails peut être ou des bad comments de haters…).

Nous avons donc fait d’un trait Bordeaux Amsterdam Atlanta puis Gainsville dans une voiture de demi dieu(en Europe). Comme d’hab premier repas sur le territoire de l’oncle Sam, un big méga burrito de chez Taco Bell histoire de mettre tous les microbes intestinaux du voyage en PLS. Franchement mon étalon Taco Bell depuis les années 90 est en baisse, c’était déja pas glorieux à cette époque mais maintenant c’est cata…à l’instar de la majorité des Fast foods de bord d’autoroute. Bon ça c’est fait.

En attendant la sortie des classes du Jeune, avec mme Donny, on est descendu dans le milieu de la Floride, autant dire au milieu de rien si ce n’est un croisement trés fréquenté de 2 highways (nord/sud et est/ouest), et croyez le ou non on est tombé sur un musée du Dragster. Vu d’ici ça fait Musée de la National 7 avec 3 deuches et un 404 betaillère, mais non, là on est auziunatidstetofamerica et même le plus pouilleux des coins retranchés, quand il te fait payer une entrée, tu en as pour ton argent. Ok j’ai quelques contre exemples mais ce n’est pas le moment d’en parler.

Donc musée du dragster, en lisant les petites lignes, c’est tenu par un gonze que vous connaissez peut-être : Don Garlitz aka Dig daddy. Enfin moi depuis que je me renifle dans le nez des histoires de drag relayées par des mag frenchy ou des exports achetés en son temps chez Brentanos place de l’opéra, Don Garlitz pour moi est dans le top 10 de mes héros préférés. Non pas comme une groupie d’Mpocora mais comme un gars qui donne de l’inspiration dans mes choix de vie, même si je reste modeste de ce point de vue 🙂 . Donc arrivé le plus tot possible pour un couple de cinquantenaire encore un peu décalé, nous parkons notre dodge challenger verte devant l’un des 2 musées(oui 2).

Petit passage par le giftshop avant d’atteindre la caisse, puis on rentre dans l’antre du swamp rat. Je vous cache pas que le choc est rude et que malgré mon age avancé je n’était pas préparé à ça. La gorge se resserre et je suis à la limite de faire une vidange lacrimale. Petite pose : j’ai remarqué récemment que la moindre émotion me faisait monté les larmes et je suis a deux doigts de me transformer en fontaine venoise a chaque fois que je regarde des vidéos de mignons petits chats ou de retrouvailles surprise de soldats américain avec leur famille…C’est grave docteur ?

Si je prend le temps de cette entrée en matière, c’est que j’était a 2000 lieues d’imaginer un musée aussi consistant avec autant de monuments de l’histoire du drag. Ce sont pas moins de 2 batiments immenses dans lesquels on trouve des centaines de dragsters iconiques et des pieces rares et variées et dans l’autre la collection complete des voitures de Don Garlitz. Et je crois qu’il en a quelques unes.

Voila tout est dit je vous laisse regarder les images et je vous reprend à la sortie.

Tu vois je t’avais dit, ça pique hein ?

Et pis là tu as vu que la moitié, l’autre moitié c’est la collec’ perso du Boss

Bon voila les amis, un moment inoubliable, bien sur quand t’es dans le coin oublie pas d’aller rouler sur la plage de daytona, de t’arreter au musée du international speedway, d’aller dans les keys même si la route c’est pas comme sur les photos, va quand même jusqu’au 7 miles bridge, miami le quartier cubain les maisons art deco, le tour de air boat dans les everglades…C’est pas la californie mais ya autre choses que la californie non?

Allez on se repale bientôt ?

Donny –Liquide–

Single wheel story

C’était un jour de déprime de milieu d’hiver, alors que nonchalemment j’ouvrais Craigslist Texoma histoire de voir si c’etait aussi le blues chez les rednecks de l’oklahoma… Mots clés habituels, vw bug, vw camper, fuchs wheels, centerline wide 5, single wheel trailer et là bizarrement j’ai un peu de choix. Le tri fait dans les remorques de vélo et les porte-voiture double essieux(on critique le bon coin mais coté moteur de recherche c’est un poil plus confort que craigslist…) je tombe sur la meme page sur une caisse nue et un chassis sans trop d’indications. Je sens que le blues passe au rouge et une analyse plus approfondie des photos(purée on dirait Jerry de wheeler dealer) je me dis qu’il doit s’agir d’une sear modele caisse en bois. De l’autre coté une caisse en metal faite maison ou alors un truc local avec le bon format. Bon là tu te la pètes, je prend le pick up et je fais 300miles pour aller la chercher, sauf que je suis dans le sud ouest de la France et que la bricole est au sud de Tulsa, tu vois ? Donc il faut que j’appelle un ami, qui justement va dans sa belle famille au sud de Tulsa Ok, tu le crois ça ?

Moi je dis il n’y a pas de hasard, la chance sourit aux audacieux et tant va la cruche a l’eau qu’a la fin elle se casse. Oui je me dis ça des fois. Enfin toujours est-il que mon bon ami de chez l’oncle Sam est allé se promener pour moi(mille mercis) et qu’au final pour quelques sous multiples de grants j’ai une single wheel Sears originale sans caisse vu que celle là est un truc provenant d’ailleurs. Je prend quand meme.

Le reste c’est de la logistique et des dollars, ainsi quelques mois plus tard on décharge ça de la camionette et on tourne un peu autour.

Pas de caisse c’est pas de caisse, il faut la faire. A priori pas compliqué, j’ai récupéré les cotes d’origine auprès de bons gars ricains pour l’ensemble qui ont remis en état des caisses identiques. Mais mon kiff c’est le modele en tole avec des allures de voiture de manège. Sauf que là c’est pas facile a trouver et les budgets sont no limite. Donc après quelques mois de réfléxion et de crobardage, je me lance dans la réalisation de ma Ford GT40… non je déconne. Un passage chez le ferrailleur du coin pour trouver du tube 16×16 et de la tole de 0,8mm. On va pouvoir mettre à profit la nouvelle aquisition de Noel, une bead rolleuse kitée motorisée. Je coupe mes gabarits et me lance dans la réalisation de la structure en tubes. Le choix du moment c’est the hard way : je fends je cintre je soude, jusqu’a ce que je me rende compte que finalement qu’il existe une easy way avec une petite cintreuse maison on peut aisément arriver au même résultat sans les soudures fastidieuses. Trop tard ce sera pour le prochain projet. Donc voici assemblé l’ossature de la caisse qui commence a avoir une bonne gueule. Seconde étape on va habiller avec de la tole…ohhhh !

La messe est pas dite mais comme ça ça fout le jetons. Pour l’instant ma tole repose sur mes tréteaux et est toujours plate comme une limande. Je me suis fais des gabarits en carton et la scie sauteuse avec une lame neuve découpe les morceaux correctement, je n’ai pas encore investi dans une cisaille électrique(éh je suis pas un américain!!!). Voila donc les morceaux coupés. L’idée de départ était d’arrondir les bords pour que les raccord de toles soient harmonieux et doux…ben non j’y arrive pas et apés avoir niqué 1m2 de tole je renonce pour faire des raccord a angle droit. La bead rolleuse c’est une machine sympa qui rend heureux rapidement mais dont les subtilités de déformation laissent perplexe et sans voix(…) C’est loin d’être parfait parce que les morceaux sont longs et le gars pas affranchi aux trucs et astuces du métier. Qu’importe ça ira comme ça. Beadrollage fait on arrondit les 2 faces avant et arrière avec une rouleuse maison(2 tubes, un étau et un peu de muscles). A cette heure ça prend la bonne direction.

L’assemblage se fera par soudage au mig, puis meulage à la meuleuse :-D. Des petits patch pour faire les coins arrondis et je fabrique un cadre en équerre stretché à la strétcheuse pour fignoler le dessus. Il sera riveté pour le look(en fait non).

Grosso modo je vous ai décrit en 30 seconde ce que j’ai mis 6 mois a réaliser(à la vitesse d’une vieille mob non kitée Crados). Comme ce projet sert aussi de champ d’expérimentation je me dis que je vais pas mettre un mastic et le faire comme Bill Hines. L’expérience est trés intéressante, seulement c’est assez lent et cela fait chauffer la tole (ah oui là encore c’est un métier) et ça déforme.

Aussi le beau boulot fait jusque là se retrouve pas endroit chiffon carpette. Qu’à cela ne tienne j’ai vu sur youtube qu’en faisant des chauffes et en tapant là où il faut on arrive a rectifier ça. Je confirme qu’on arrive bien a rectifier ça mais pas moi(close ! but no cigar) au final je rattraperai au mastic(pas de gueule). Mais tout de même je lui ai mis sa race à la tole donc c’est là qu’on doit appeler un ami. Allo Christophe tu peux venir ?

Ben ya pas à dire quand tu sais faire ça va beaucoup mieux.

Et puis l’idée de laisser en bare metal a pas fait long feu car voir rouiller le fruit de longues heures de boulot ne me faisait pas kiffer des masses. Donc mastic(éh oui!!!) appret, peinture a la bombe et vernis bi composant en bombe. Déja essayé sur l’aile arrière de ma cox, c’est pas trop mal comme résultat. Ça demande tout de même qu’il fasse pas -3°C mais dans l’ensemble ça me plait( Oui je sais soyez pas vexant, je suis pas non plus un pro des mastics).

Voila l’histoire aprés c’est plancher, un peu d’élec pour etre bien vu par les autres, un peu de revision de la mécanique de la fourche et accroches spéciales pour mettre derrière la Cox(du gateau en quelqe sorte). Ça a duré un peu plus que prévu mais l’histoire est belle, les expériences personnelles sont intéressantes et ça me permettra de trimballer ma mini bike (ah oui je vous ai pas dit…) ou les velo ou mon matériel de camping…

Voila soon sur la route derriere le bus jaune ou la cox 67…

–Donny qui suit sa liste à la lettre–

good ‘ol Story

La vie est faite d’imprévus, même si je me bagarre pour anticiper les couilles a venir, quand ça arrive et que c’est bon … et ben c’est bon. C’est pour ça que je reprend la plume pour vous en causer.

Encore une fois je vais parler comme un vieux gribou mais l’histoire démarre quand un sac a merde me pourri le hayon arrière du bus jaune a coup de cutter la nuit sur mon parking d’hlm de la banlieu libournaise. Bizarrement, et surement pour des raisons personnelles je passe les nuits suivantes avec mon fusil à bouchons a guetter dans l’espoir que le coquin revienne sur les lieux de son méfait. Quelques nuits sans dormir auront raison de ma decision de mettre le Bus jaune à l’abris et de passer en mode voiture moderne. En l’occurence je me trouve, bien aidé par mon ami de l’époque (dont je me dois de taire le prénom faute de quoi je reprend quelques années de psychothérapie), une jolie coccinelle Jean Orange de 75(c’est possible ça ?) avec rien a faire dessus. Me voila donc a faire le zouave dans mon bled pourri avec un truc rigolo pour aller au boulot, aux courses et éventuellement au Macumba night. Au contact de mes amis callookerz du No water je me sens un peu dans l’obligation de passer a l’étape droppage avant et arriere. Un samedi le train avant est tombé, coupé, swayway soudé et le tout remonté. Pas le temps pour l’arrière. Je retourne donc au boulot avec une cox au look jack up de la R12 de super beauf. C’est cool mais la tenue de route est quand même assez hasardeuse. Pressé de débaucher pour justement aller dropper l’arrière, je me vois contraint par une méchante BM de me rouler dans un fossé duquel je ressors aprés un tonneau et la cox orange défoncée mais en vie.

J’en appelle à la générosité de mes amis et Christophe qui a le coeur sur la main me prete sa Lada de prêt pour me permettre de passer à l’étape suivant à savoir, retrouver une caisse et recommencer ma vie de jeune couillon. Par chance le chassis n’a pas été touché et dans une grange coincé entre un ventre gris et une DS nous trouvons une 1200 de 68 dont nous récupèrons la caisse. Elle est pas brillante mais le coeur sur une main et le tas dans l’autre Christophe m’aide à la remettre dans un état decent et propre à ce qu’elle retrouve sa fierté. Quelques mois en Lada ça motive a avancer sur la cox et le jour du choix de la couleur étant ensoleillé elle sera Jaune. Un Jaune BM des E36 de l’époque. Un super jaune qui m’émeut encore.

Remise sur ses roulettes la caisse fait la une des rassos du coin et même si les jeunes filles ne se jettent pas dans mes bras je vois bien que cette caisse à Papa ne les laisse pas de marbre.

Quelques semaines plus tard motivé par la parution d’un Nitro et de la camaro RS qui en fait la couv’, je décide de faire 2 bandes noires en plein milieu histoire d’avoir vraiment un truc unique. Pas de scotch noir non non non, elles seront peintes. Eh oui billy life is a Highway if you’re goin’ my way !

1200 –> 1600 puis sieges de golf puis bon son, puis échappement tbird (…) Et voila le début de l’histoire. Les lumières se sont un peu éteintes mais la sensibilité des quidames étaient toujours excitée à chaque coin de rue, je me suis mis a vivre avec ma nouvelle voiture de la mort qui déchire et qui file la patate chaque matin avant d’aller au turbin.

Bon je vous passe les étapes de ma vie perso parce que c’est perso, copains, copains avec meufs, copains avec bébé, repas solitaires, vacances aux states en solo, rencontres hasardeuses puis rencontre de La meuf, puis maison, kids et vie de famille, le remplacement de la cox de la mort qui déchire est alors au centre des discussions. Elle est donc à vendre. Je vous fais grace des anecdotes du style « j’aime pas le jaune mais si vous me faites un prix je vous la prends », ou « vendredi je viens la chercher et dimanche soir j’ai oublié »… finalement un gars moins con que la moyenne viendra avec s chérie me faire pleurer lorqu’ils quitteront mon jardin avec ma petite cox Jaune.

Jusque là rien d’extraordinaire allez vous me dire. C’est que là on était en 1999 au top de la mouvance vw aircooled et donc les projets s’enchainaient : pour moi un t2a double cab’ de la mort qui déchire et qui file aussi la patate le matin pour aller au boulot, sauf quand il tombe en panne et blablabla. La vie suit son cours.

De temps à autre je la croisais dans le libournais, j’entendais dire qu’elle avait été repeinte à l’identique, des commentaires bizarres mais que faire face à la vindicte à la bétise et à l’ignorance. Jusqu’à ce qu’elle disparaisse de mes radars affutés.

Un jour de septembre 76′ où j’existais si peu que je n’étais même pas « personne(…) non plutot de 2000 et des brouettes je croise un gars Patrice dit l’ingénieur qui me dit « tiens je connais le gars qui a racheté ta cox ». « Ah oui super » dis je, alors que je rendais compte que j’avais bien fait mon deuil. Et puis un autre jour de 2014 je rencontre un gars sur le circuit de Nogaro qui me dit « salut tu connais l’ingénieur »( je pensais au gars qui me contrarie souvent au boulot, mais non c’etait pas lui) je lui dis « oui » pour en savoir plus. « Eh ben c’est moi qui ai récupéré ta cox, et je l’adore ». On sentait qu’il était prêt à pleurer, du moins que son amour pour sa cox lui provoquait des bouffées de chaleur émotionnelles. Il me sortit un album de photos où on voyait en effet que c’etait bien lui le nouveau proprio de mon ancienne cox et qu’il en était super content, on le comprend. Et bien ce gars là fort sympa malgré tout avait décidé de faire faire un moteur « perfo » à l’ingénieur. De mémoire un 1915 affuté. La cox avait des disques à l’avant et des tambours à l’arriere, des fusées décallées et des bons amortisseurs (bilstein de ce que je me souviens) de quoi assumer les chevaux supplémentaires. Mais voila qu’un jour, poussé par la meute de ceux qui disent mais qui font rien, mon gars s’était engagé dans une espèce de course de cote et là patatra, le rocher au milieu de la route dans un virage à l’aveugle et voila la fusée qui passe sous le chassis le capot qui se transforme en luge et mon bonhomme assis dans le fossé avec une pompière à ses cotés. Vu l’ampleur du choc la voiture finira à l’épave. Sauf que les coccinelles sont immortelles et que moi je ne suis pas devin et je ne connais pas la suite de l’histoire, enfin la suite entre le fossé et maintenant (ou juste un peu avant).

Nous y voila lundi 12avril 2022, mon téléphone sonne et ce n’est pas un conseillé EDF pour des panneaux solaire mais un type prénommé David qui me dit avoir récupéré un capot de cox jaune avec des bandes noires chez un ferrailleur deux heures moins le quart avant qu’il ne passe au pilon. Il croit savoir que c’est le capot de mon ancienne cox. Et! et! et! que si ça m’interesse je peux venir le récupérer chez lui, ça tombe bien il habite à quelques kilomètres seulement. Sauf que moi j’ai une affaire à faire tourner et cette info passe aux oubliettes. Pffff encore raté.

Nous sommes en 2023 et avec des amis nous avons décidé d’aller nous battre les roubignoles avec l’esprit combi et profiter du camping de la plage du pin sec also known as Naujac Bus camp 2023. Après diverses libations et autre baignades en tenue d’adam nous rentrons au camp passant par ce qu’ils appelleraient un swap meet s’ils étaient américain. Je suis alors interpelé par un de mes anciens collegue de démontage de combis split, Drop pour ne pas le nommer qui me dit me montrant un gars de l’index « tu connais David ? », « non » que je dis, « ben c’est le gars qui a récupéré le capot de ta cox jaune ». Décidément je suis poursuivi, pas moyen de faire que l’histoire reste un souvenir ? Qu’a cela ne tienne le gars est sympa et notre discussion ouverte…rendez vous est donc pris lors d’une bourse d’échange de pieces de vielles voiture pour faire l’échange, capot contre bricoles.

Et là ce matin à l’heure même où je vous parle j’ai dans mon coffre de break nippon le capot que j’ai peint voila prêt de 25 ans et vous le croyez ou non ça me fait de l’émotion. Oh! pas a chialer mais quand même un petit quelque chose que les imprévus vous forcent à ressentir, passé les premères minutes de surprise.

Je vais en rester là avec mon histoire mais je voudrais quand même remercier le gars qui a eu la gentillesse et la clairvoyance de ramener à la vie un morceau d’histoire qui aurait pu finir dans une fonderie chinoise et devenir un four micro onde ou un rateau made in france. Merci David, je vais essayer le marteau a bomber le verre acheté ce matin pour voir si j’arrive à donner une ènième vie a ce capot.

–Donny wanna ride it all night long–

NB: cherche les références culturelles dans le texte ci dessus…